Plus de la moitié des cyclistes ou leurs proches ont été victimes d’un accident
Quelques réflexions sur la sécurité à vélo dans les rues achalandées du Canada tirées des résultats d’un nouveau sondage de State FarmMD
CNW – Aurora (Ontario), le 27 juillet 2016
La température estivale est parfaite pour une promenade à vélo et les cyclistes canadiens en profitent pour sillonner les routes du pays. Cependant, arriveront-ils à destination sains et saufs? Il s’agit là d’une préoccupation constante des collectivités, petites et grandes.
Conducteurs et piétons distraits, travaux de construction, obstacles ou autres cyclistes qui ne respectent pas les règles de sécurité : partager la route en toute sécurité est un combat de tous les instants. Ce n’est donc pas surprenant qu’un Canadien sur quatre estime qu’il n’est pas prudent de circuler à vélo dans les rues d’une ville.
Les frictions entre les cyclistes et les automobilistes sont bien documentées. Selon un récent sondage national mené par State Farm Canada, 55 % des conducteurs canadiens jugent que les cyclistes qu’ils croisent sur leur chemin sont nuisibles. Cet « amour » est réciproque : un pourcentage presque similaire de cyclistes, soit 54 %, est à son tour agacé par les comportements des automobilistes.
« Le conflit entre les automobilistes et les cyclistes ne date pas d’hier. L’absence d’infrastructures à l’usage des adeptes du vélo et la confusion quant aux règles encadrant le partage de la route expliquent en bonne partie ce conflit, affirme John Bordignon, porte-parole de State Farm. Des choses qui semblent insignifiantes aux yeux des conducteurs, comme des bouches d’égout et des nids-de-poule, sont très dangereuses pour les cyclistes. Par contre, si ces derniers ne respectent pas le code de la route ou prennent toute une voie à eux seuls, ils risquent de recevoir quelques coups de klaxon. Mieux comprendre les lois locales, rester concentré et surtout sobre, au volant comme au guidon, est essentiel pour notre sécurité à tous.»
Pédaler dans la circulation
Logiquement, plus il y a de la circulation, plus il y a de danger pour les cyclistes, mais les grandes artères ne sont pas désertées pour autant. Près de 20 % des répondants qui utilisent leur bicyclette pour se déplacer affirment qu’ils empruntent des rues achalandées. Plus de la moitié d’entre eux ont été victimes d’un accident ou connaissent quelqu’un qui a vécu une telle mésaventure.
Capacités affaiblies et distractions
La bicyclette est une activité plutôt dangereuse si l’on en croit Statistique Canada, qui révèle que près de 7 500 cyclistes sont blessés gravement chaque année. Le risque augmente si la personne qui tient le guidon est sous l’effet de l’alcool ou de la drogue ou si elle est distraite. Fait alarmant, 36 % des cyclistes qui empruntent des artères achalandées et plus de la moitié des adolescents canadiens confient avoir déjà texté en roulant.
Pour ce qui est de la conduite avec facultés affaiblies, plus de 72 % des répondants croient que les cyclistes devraient recevoir les mêmes sanctions que les automobilistes.
Améliorer la sécurité
Les cyclistes peuvent faire de petites choses pour se protéger un peu mieux. Par exemple, 8 répondants sur 10 croient que le port du casque devrait être obligatoire. Se faire voir et entendre par les automobilistes en se munissant d’une sonnette et de phares ou de réflecteurs est aussi important. Malheureusement, près de 40 % des Canadiens ignorent que les cyclistes sont tenus par la loi d’installer une sonnette et des phares ou des réflecteurs sur leur vélo.
Il est important de ne pas serrer les cyclistes de trop près lorsqu’on les dépasse en voiture, surtout en l’absence de voie réservée. Toutefois, un peu moins de 45 % des Canadiens sont persuadés que les conducteurs n’ont pas à laisser plus d’un mètre entre leur voiture et les cyclistes qu’ils dépassent.
Ressources supplémentaires
Il s’agit du deuxième d’une série de trois communiqués publiés par State Farm en 2016 pour dévoiler les résultats du sondage et les opinions des Canadiens à propos de leurs habitudes de conduite et de la sécurité routière.
Pour en savoir plus sur les efforts de State Farm en matière d’amélioration de la sécurité routière, visitez www.statefarm.ca/autosafety (en anglais seulement).
À propos du sondage
Le sondage a été réalisé en ligne en mars 2016 auprès de 3 000 répondants en âge de conduire dans l’ensemble du pays.
À propos de State Farm
En janvier 2015, le Mouvement Desjardins, le premier groupe financier coopératif et l’un des trois principaux assureurs de dommages au Canada, a acquis les activités canadiennes de State Farm. Avec ses 500 agents attitrés et ses 1 700 employés, l’équipe de State Farm offre de l’assurance et des produits et services financiers, dont des fonds communs de placement, de l’assurance vie, des prêts automobiles et de l’assurance maladies graves, invalidité, automobile et habitation, à des clients de l’Ontario, de l’Alberta et du Nouveau-Brunswick. Pour en savoir plus, visitez le www.statefarm.ca, aimez notre page Facebook (www.facebook.com/statefarmcanada) ou suivez-nous sur Twitter (www.twitter.com/statefarmcanada) (site, page et compte en anglais seulement).
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